Pont supérieur du Biblanc.
Il y en a trois. Celui en aval permet au Biblanc de se glisser sous la route cantonale voire internationale et d'aller se jeter dans l'Orbe. Il ne casse pas des briques, dirons-nous, pont moderne et tout à fait ordinaire, encore qu'il faille lui reconnaître une solidité à toute épreuve. A proximité un passage pour le bétail permet à celui-ci de pâturer les deux côtés de la petite rivière.
Il faut monter le chemin des Grands Plats, construit vers 1930, alors que la commune du Chenit avait ouvert un chantier pour chômeur, le tout conduit par l'ingénieur forestier de l'époque, Albert Pillichody, pour trouver les deux autres ponts.
En fait, ce qui devrait retenir dans cet endroit peu connu du grand public, plus que les ponts, ce serait le vallon voire le canyon du Biblanc, petite rivière certes, mais qui sait aussi rouler de grosses eaux. Celles-ci nées d'une zone mouillante dans un vallon du pâturage des Grands Plats.
En tout, une promenade très certainement à faire. Vivement conseillée par le Guide touristique de la Vallée de Joux.
