← Voyages

36. J'irai patiner à Central Park.

Publié le 09 février 2012 dans Voyages

Comme l'ont fait d'autre avant nous, au XIXe siècle.

    J’irais donc à Central Park. J’aurais tout lu sur cet espace au coeur de la ville, comment il a été créé, ce à quoi il sert. Et je me rendrais compte que Central Park, c’est une immense surface rectangulaire, des dizaines d’hectares, de terrain non construit, là au coeur de la cité, et que tout autour il y a des immeubles. Il y a cet espace de liberté au-delà duquel c’est l’immensité de la ville. Et Central Park, c’est quoi, de la forêt, des chemins, des plans d’eau, des monticules, le tout artificiel certes, créé par l’homme, mais la magie a fait son oeuvre. Ici, au milieu de la ville, cerné par elle de tous les côtés, on est bien. On est tranquille. On est heureux. On pourrait même croire qu’on est au coeur du monde. Et que nulle part ailleurs ce ne pourrait être mieux et plus beau. Et à Central Park, je présume, il y a aussi de jolies filles, des filles belles à ne pas le croire, avec de gros seins tout ronds et des jambes longues qui ne seraient pas celles de sauterelles tout autant, mais parfaitement galbées. Des filles bien en chair qui, l’été, seraient majorettes et défileraient au coin de la quatrième avenue en montrant leurs belles jambes. Et il y aurait un monde, mais un monde… A ne pas le croire.
    Et c’est en hiver que je veux aller à Central Park, pas en été. Il ferait très froid au pays d’où je viens. Mais là, arrivé après disons vingt jours, il ferait plus froid encore. New-York frissonnerait sous la neige et le froid. Et les plans d’eau de Central Park seraient tous gelés et tous aussi ils offriraient maintenant de pouvoir y patiner. Et moi aussi je patinerais. Je serais au milieu de la foule, plutôt des jeunes, avec je le redis, des filles belles à damner, et pas ces tromblons obèse que l’on image trop souvent, et je verrais à mon tour,  pareil aux autres, les grands immeubles nous encercler. Et j’entendrais comme un immense murmure, qui ne serait que la ville qui vit, plus loin, tout autour, sans s’inquiéter de nous. Et c’est incroyable, je goûterais à des sensations que l’on ne peut même pas dire tant elles sont fortes, et surtout pour ceux qui, tels que moi, ne voyagent pour dire  jamais.     Vous consulterer naturellement internet pour avoir mille autres informations, et des plus sérieuses, sur ce site exceptionnel qu'est Central Park.