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34. Cécile Cellier et Charles-Ferdinand Ramuz.

Publié le 19 mai 2015 dans Littérature

Cécile Cellier en Savoie.

    Nous devons reconnaître ici que nous avons beaucoup d'amiration pour la première, femme peintre et d'un excellent niveau, un peu moins pour le second qui, s'il reste génial sur le plan de l'écriture, pouvait présenter quelques failles sur le plan humain. Ainsi Ramuz, selon ce que l'on croit, n'aurait, d'une part pas souhaité que sa femme poursuive dans une voie créatrice, et d'autre part n'aurait même pas compris que celle-ci était une personne de talent, qu'elle produisait d'excellentes oeuvres, et que surtout elle méritait vraiment d'exercer sa peinture dans les meilleures conditions.        
    C'est que l'écrivain égoïste, voyait son oeuvre et négligeait celle des autres. Nous tenions à le dire. Et tant pis pour les adorateurs sans partage pour qui la réalité doit toujours être amenée à celle que l'on veut présenter. C'est-à-dire parfaite.